~.Ludmila.~

...

Ludmila

...

♣ Je me nomme Ludmila
♣ Je vais sur mes trois ans
♣ Ludmila est une jument d’origine Arabe. Bien que la race soit peplée de petits êtres, Ludmila est vraiment très petite, elle ne doit faire guère plus de 160 cm au garrot. Malgré le fait qu’elle soit de petite taille, Ludmila n’en reste pas moins agréables à regarder. De nombreux étalons ont essayés de la séduire sans grands succès. Ludmila possède une robe étrange, grise avec de petite nuances claires et blanches on dirait qu’un artiste s’est penché sur elle et à fait une magnifique aquarelle sur son corps. Ses yeux en amandes son d’un noirs envoutant. Et ses crins sont fins et bicolores : un gris léger au début qui vire au blond aux extrémités. Elle possède une balzane sur l’antérieur droite qui lui remonte jusqu’au genou, les deux postérieurs ont la même qui remonte jusqu’au jarret et l’antérieur gauche a une petite balzane herminée. Bien souvent, on la compara à une déesse.
♣ Mots-clés de mon caractère ? Romantique – Rêveuse – Aimante – Loyale

Histoire

♣ Il était une fois, dans un royaume fort lointain… Oui, la vie de Ludmila ressemble un peu à un conte de fée, on la qualifie souvent comme princesse, fée ou alors déesse, seulement, lors de son deuxième anniversaire, quelqu’un vint déranger son troupeau, enfin, celui dont elle était l’héritière. Son père fit signe aux autres chevaux de se taire et laissa l’inconnu prendre la parole. « Nous sommes en paix n’est – ce pas ? le géniteur du troupeau acquiesça d’un geste de la tête, Bien, alors, moi, Rufus Caïus Julius II, je déclare notre alliance annulée. En échange, reprit – il avec une voix inquiétante et un sourire sadique en coin, je veux… Ta fille ! Je veux qu’elle souffre de moi, je veux la salir, toi qui est sois disant le descendant direct d’un des Dieux ! Et je veux la souiller devant vous… »… Le père de Ludmila n’était en aucun cas d’accord, le cheval sombre souris, découvrant toutes ses dents noires et jaunes et ris moqueusement. Il hurla un mot de sa langue natale, qui était l’allemand, et l’on vit près de cinq – cents soldats équins, s’avancer en marchant en rythme. Le bruit des sabots qui piétinaient la terre donnait un air macabre qui semblait accompagner les soldats. Tous les gens du peuple de Ludmila furent massacrés après avoir été saillies pour les juments et torturés pour les mâles, mais elle, comme une lâche, partie en courant ce qu’elle se reprochera toujours. Tous les détails ne sont pas inscrits dans ce récit, mais elles ne vous racontera jamais sa vie.

Caractère

Et vous alors ?