ℒ 'erreur est la légende douloureuse. ⅼ Libre ⅼ

La mort ignore la politesse. Elle ne prend jamais rendez-vous. Mais elle accepte ceux qu'on lui donne.

Je serai la larme du poison.
Caché entre les gouttes, je tourne autour de ton âme, c'est moi le torero !
Je suis celui qui remue dans la plaie, le couteau.
Rien ne sert de t'enfuir, je te rattraperai, au royaume des ombres, je serai comme ton ombre, a chacun de tes pas. Comme une maladie , qui frappe et qui s'en va.
Voici la mort, que le monde s'incline, me voici maintenant dans cette foret bien trop coloré...

Mon souffle est rauque, mon regard est mort.... Remplit de vangeance et de cruauté...
Que dire de moi a part que je suis le fidèle souverain du diable, son préferer de tout les temps... Personne ne me remplaceras, le jour ou je mourrerais, la douleur s'abattra peut etre sur moi, mais sachez que vous, oui vous, n'en serait pas epargnez....
Mais pour l'instant je ne suis pas près de quittez se monde... J'ai encore tellement de chose a faire.... Vous me croyez simple, arrogant, froid et distant mais je suis pire que sa mais suis je si méchant autant que je vous le montre? Ai je quelque chose de cacher au fond de mon coeur qui ne sera devoiler qu'à certaine personne.... Mème moi je ne le sait pas que ce petit quelque chose est dans mon coeur... Qui vas le connaitre? Mon caractere est si bizarre, si mysterieux, si sauvage et sans crainte... Je n'est peur de rien ni personne et en aucun cas de la mort, de la souffrance et du sang...
Ce liquide rouge que j'adore sentir entre mes lèvre pincé, cet odeur qui me remplit de joie....
Qui suis-je au fond, personne ne le sait, je suis un démon dans un corps pur, un corp qui te séduit en toute part, avec aucune mauvaise note,
Je peut etre un bon ami, qui est prêt à sacrifier sa vie, mais pour que je vous fasse confiance c'est tout un parcours....
Finalement nul ne sait qui je suis, ça m'enchante d'être entouré de mystères,car personne ne sait comment on me détruit.... Et oui, qui le sait?
Personne....
Je prends plaisir à vous voir courir, je prends plaisir à vous voir souffrir, voir votre sang couler, voir la vie vous quitter, j'aime vous voir m'implorer, vous entendre dire
" Heartless ne fait pas sa, epargne moi "
mais c'est trop tard quand je decide de quelque chose je ne recule jamais, c'est bete pour vous, mais peut etre que vous ne finirez jamais comme sa, et que vous aurez droit a mon respect ou à mon ignorance.... Et toi inconnu qu'en dit tu?

Les yeux vagues perdus, la crinière posé sur le cou, la tête basse, les oreilles en alerte, l’allure pourtant fière. Les sabots qui raclent et frôlent le sol. La queue qui se balance doucement au rythme de mes pas. J'ai un cœur. Certes détruit et qui n’exprime plus beaucoup de sentiments, n’y n’en ressent mais j’ai un cœur. C’est peut-être pour ça que je suis allé vers toi. Le silence était trop pesant à mes oreilles. Le silence de la solitude. Elle, elle aurait voulu vivre, elle ne serait pas découragée. La mort est une voie trop facile. Je ne veux pas prendre ce chemin. Je ne l’ai jamais pris. Le gouffre revient. Par ta faute. Par tes mots. Ils ne sont pas dure, ni glaciale. Mais ils transpercent quand même mon cœur. Ils ont entrouverts des millions de portes. Des portes qui en veulent pas s’ouvrir. Des portes qui ne s’ouvriront jamais. Pas maintenant en tout cas. Le gouffre revient. Je menace de m’y plonger, pour tout oublier. J’aimerais tant tout oublier. Je ne voudrais pas pour autant tout recommencer mais je voudrais effacer certaines choses. Oublier. Arrêter, arrêter de souffrir, vous pauvres êtres qui peuplaient le monde. Si c’était aussi facile que cela, le paradis serait peut-être enfin là. Un seul mot. Un seul mot peut vous faire sortit un million de souvenirs. Toujours les mêmes. Un seul prénom. Peut-être celui qui vous a le plus marqué dans votre vie. Il vous fait remonter à la surface tout. Vous êtes à nus, vous avez l’impression que tout le monde sait qui vous êtes. Je ne veux pas qu’on sache qui je suis. Comprendre. Ne pas oublier pour autant. Le monde est flou. Tout change. Je soupire.

La vie n’est que douleur. J’ai tué et je sens à quel point, je ne sais pas qui je suis. Douleur. Douleur au fond du ventre. Douleur qui me tue tout doucement. Je tombe par terre, pleure. Alors j’imagine peut-être. Douleur. La vie n’est que douleur. Que penserez-vous de moi ? Je ne suis qu’un égoïste, qu’un menteur, un manipulateur. Douleur. Un tueur. J’oublie le temps, essaie d’oublier la vie. Je rêve que j’ai disparu .Mes deux personnalités. Tout repars puis revient, plus fort, assailli ma tête de poignards, de mots, de phrases, de flèches brûlantes. Dégout. Le dégout de soi qui remonte. Puis le silence. Vaste & vide. Le silence. Péniblement, mon corps se relève. Visage de marbre & regard de glace. Je ne suis pas celui que je suis. Je ne suis pas Gàlan. Je ne suis qu’une âme qui ne devrait pas vivre mais qui le veut pourtant. Continue à jouer, recommencer ou faire complètement une autre vie. Le mot douleur disparaît. Le mot silence apparaît. Je ne suis pas Gàlan, je déteste son nom et pourtant je le porte.

Se berner soi-même, tant de facilités. Quoi de plus simple que de se mentir à soi-même, personne ne sera là pour me contredire, pour me dire que depuis le début j’ai tout faux, que je me leurre moi-même. Au loin, à travers les champs ondulés qui s’étendent devant moi, j’aperçois une silhouette d’un être décharné. Je m’approche, d’un pas lourd, lentement, me mouvant. Toute cette tristesse est feinte, et en même temps, au fond de moi, une partie veut que ce soit la vérité. Mais je ne peux encore accepter ce sentiment. Je hais l’amour car cela m’a tué, cela m’a montré combien j’étais faible. Combien nous étions faible, nous parmi ce monde à feu et à sang. J’ai cru qu’en mentant encore une fois, tu tomberais dans le piège. Un jour ou l'autre, je comprendrai, tu comprendras et alors j'aurai tenu ma promesse ; et je viendrai à tes côtés Mais ce jour n'est pas encore arrivé et je l'attends ...

Il y a plus d'héroïsme à souffrir longtemps qu'à mourir vite.

Heartless Hell's prénom qui signifie ' Enfer Impitoyable ' T'elle que je l'ai conçu. Etalon à la puissance surprenante , Etalon redouté même au royaume des morts , Etalon déchut des enfers. Il était le plus dangereux de tous , c'était ma perfection ! Son nom continuera de se faire entendre , Légende des enfers. Tu as tué de sang froid cette jument , nul sais pourquoi !? Ton acte si cruel , te bannis jusqu'à ta mort , à une vie de souffrance. Ah Heartless , seul moi , Hadès te connais. Je t'ai créé pour semer le Chaos , pour faire régner le mal. Le seul qui pourra te détruire c'est moi seulement , mais je ne pense avoir une telle puissance pour pouvoir te tuer. Tu dégage tellement de force que même moi , ton créateur j'arriverai à te détruire ...
Depuis que tu es sur la terre des vivants tu peux voir les morts et leurs parler. Non tu n'es pas comme tout c'est autres chevaux . tu parait tellement irréel , quand les chevaux se trouvent face à toi , il n'ont qu'une envie de s'enfuir avant que tu n'en face ton repas . Parfois tu fais preuve de compassion et tu leurs laisse la vie sauve . Pourtant je ne t'ai pas donné de sentiment . Tu ne connais pas l'amour , la tristesse , la peur. Ton coeur est vide et recouvert d'une couche de pierre , tu es insensible, intouchable , sans pitié. Je pourrais te reconnaitre entre milles grâce à la marque que tu portes sur ton encolure et à la cicatrice que je t'ai infligé lors de ton départ pour Landschaft. Pour tout les chevaux sur cette terre , tu seras comme une sorte de monstre, tout le monde partira avant même de savoir ton nom . Tu n'es pas le monstre du Loch Ness mais tu fera le même effet . Je te souhaite ton péril pour que tu reviennes aux enfers.

Au loin on pouvait apercevoir une immense ombre celle d'une étalon noir aux yeux azurs. Il ne passer pas inaperçus. Son pas était saccadé mais rythmé , son souffle était rauque et glacial et son regard de braise. La où il passait les fleurs se fanaient , les oiseaux s'envolaient , les animaux s'en fuyaient , le ciel se couvrais et le soleil se cachet, le tonnerre grondait . Il était maudit , c'était un démon dans un corps décharné . Mais malgré lui il n'a pas choisit d'avoir cette vie. Il ne sais même pas qui sont ses parents , Hadès c'est gardé de lui dire. aussi bien il avait des frère et soeur mais il ne répondait jamais à se genre de question ...
Aujourd'hui Heartless Hell's n'était pas en grande forme , c'était son premier jour ici et le premier lieu qu'il est trouvé et une misérable colline où il ne fait jamais nuit . Son regard balayait l'horizon quand il observa une jeune étalon qui lui non plus avait pas l'air en forme qui s'approcha de lui . Heart' stoppa sa marche et le regarda de son regard mort et glacial , les oreilles couchées en arrière . Il attendait celui ci ...

Je suis une ombre. Effacé, perdue dans un monde que je ne connais que presque peu. Une ombre décharné dont le cœur en lambeaux se noircit de colère. Je disparais, revient, hante. O être maudit que je suis devenu, ne suis que plus misérable, adonné aux malheurs des cieux ? C’est la mort qui me le doit, elle m’est redevable. Elle a obtenu après moultes désirs et hésitations, le droit de me faire souffrir et que je paye de fautes que je n’ai jamais faites. Mais c’était son droit et maintenant, je redemande le mien. Redevable de ma peine et de ma souffrance, la mort m’attend et elle ne pourra plus jamais barrer l’accès de mon amour. Souvenirs qui reviennent, en moi, je m’arrête, mon souffle aussi, s’entrechoque. Des doutes envahissent ma pensée, les mêmes questions me taraudent. Je reste là, figé à essayé de comprendre et d’un coup, comme un poignard, je me rappelle et quelque chose, en moi, s’ouvre. L’image, se forme dans mon esprit. C’était le soir où je veillai qu’elle, à mes côtés dormait d’un sommeil paisible dont elle ne se réveillera jamais. Sur ses traits, je voyais de la souffrance mais toujours cette innocence et cette douceur infantile. Cette nuit-là, j’avais entendu un ricanement, des bruits furtifs, une ombre et j’avais cru à une hallucination sous la douleur. C’était lui … Le meurtrier. Souffle qui se précipite. Je lève les yeux. Le ciel, assombrit déverse son flot de couleur sur la colline. Flamboyant, rougeoyant, tout se reflète et se perd. Les nuages semblent aussi aspirer la couleur du ciel et le dégradé violet s’étale. Les herbes ondulent sous l’effet d’une brise légère. Bientôt la tempête reviendra. Une pluie forte tombe maintenant et la brume enveloppe le paysage. Quelques instants et tout se transforme, la colline devient un autre endroit. Mes yeux se fixent sur l’inconnu devant moi. Un être de charbon tout comme moi. Mais en lui, on y décèle la mort, elle-même. Ces yeux bleus fascinent, son corps de braise envahit. Je le fixe, et d’une voix rauque, je murmure : « La tempête arrive … » Un cœur à force peut se noircir et même mourir, comme si une maladie l’avait brûlée. Le mien, ne meurt pas. Oh non, on peut encore entendre les faibles battements de mon cœur. On peut encore entendre quelque chose qui vit, survit. La vie ne mérite pas d’être vécue, et nous aussi, on ne mérite pas de vivre. Réfléchissons, à quoi servons-nous ? Nous ressemblons aux vagues démentes qui comme des corps, s’abat sur des falaises. Ou comme ses grains de sable qui reste là, figé à attendre qu’un souffle de vent les bouscule. Nous sommes comme, nous ressemblons mais nous le sommes pas le moins du monde. Nous envahissons, peuplons, mourront. Chacun poursuit sa vie dans un silence absolu et c’est comme cela que nous avançons. J’aurai aimé être quelqu’un d’autre que je ne le suis mais je n’ai pas le choix et malheureusement, je ne puis plus reculer. Je dois continuer de tracer ma route, mon destin. Je fixe encore l’étalon et attend sa réponse. Je sens la mort toute proche et je me demande ce qui va se passait. Comme à chaque fois …

Heartless Hell's

La tempête de neige - élément perturbateur

ℒ 'erreur est la légende douloureuse. ⅼ Libre ⅼ Ru10

La mort est une chose incroyable! La preuve: on en revient jamais!

Désoler c'est nul =/

AND AFTER ?

Jouer avec sa propre vie. Jouer avec son âme. Jouer avec l’esprit de l’autre. Du fond de ses prunelles, j’aperçois la mort. Et loin, de m’en épouvanter, je ricane. Seulement. Un gouffre noir, plongeant. Le vide. Comme ce que j’ai dans ton cœur. Qu’es-ce que la vie ? Un enchainement de tristes événement qui n’ont aucun sens aussi bien les uns que les autres ou es-ce comme le dise certains, un cadeau de Dieu ? J’opterais plutôt pour la première idée. C’est du moins ce que j’ai retenu de ma vie. Parfois j’essaie de chercher des moments heureux où je pouvais profiter de la vie. Juste avec toi. Et plus rien. Avec toi, tout est parti. Et petit à petit, on les oublie car ils sont remplacés par d’autres. Ces moments où vous ne portez que la haine en vous, où vous aimeriez un peu respirer même si vous n’en avez pas le temps. La vie est trop courte aussi dit-on. Moi je la trouve trop longue. Dans toute notre vie, on a largement le temps d’aimer, de détester, de comprendre, de réfléchir, de souffrir et de haïr. On a largement le temps de comprendre que parfois vous n’êtes pas fait pour vivre dans ce monde. J’ai l’impression d’être un étranger. Comme si je n’étais pas comme les autres. La vie, ou du moins la mienne, ce n’est qu’une recherche désespéré, une histoire sans fin qui pourrait se répéter.

Là-bas, une lumière s’illumine, une étincelle qui surgit au milieu de la brume et qui appelle le regard, tout doucement. Mes yeux se dirigent vers cette lumière. Le ciel gris s’est couvert, la pluie tombe sur mon corps, dégouline. Je sentais le contact glacé et me remémorai encore des souvenirs que je ne voulais pas laisser partir. La pluie s’intensifiait, devenait neige. L’air se chargea de brouillard et le monde disparut aux yeux de tous. L’étalon devant moi, ne parlai toujours et je me demandai s’il avait aperçu la lumière, qui au loin brillait toujours avec intensité et ne semblait pas être enveloppé par la brume. Je levai la tête et fixai l’inconnu sans rien et me dirigeai vers la lumière. Je ne savais pas ce que c’était, je ne savais pas qui il était, je ne voulais rien savoir. Qu’il demeure muet, ou qu’il me suive, je lui en laisse la liberté et comme il ne semblait pas presser d’entrouvrir ses lèvres … Je marchais lentement vers la lanterne, découvrant que le sol était recouvert d'une couche de neige qui grossissait très vite. C'était risqué, voila pourquoi il fallait chercher un abri. Je regardais derrière moi mais ne distinguai plus l'équidé. Je me stoppai, soupirai, et puis reprit ma route.

» Impression ~ libre.
» Izadora et le ciel bleu; libre